28 juin 2006
Les évangélistes
J’étais seul dans cette gare
Les yeux un peu hagards
Mes pensées un peu perdues
De ma vie je ne voulais plus
Et vous êtes arrivés
Avec vos paroles insensées
Dieu il t’aime
Contre toi il n’a pas de haine
Vis comme dans l’évangile
Ton cœur ne connaîtra pas d’exil
Et partout tes amis
Reconnaîtront les lumières de ta vie
Mon âme se mit à écouter
Car au fond c’étaient de belles pensées
Je vous écoutais discourir
Que la vie était aussi faite de rire
Si dans ton coeur
Accueillir un dieu tu n’avais pas peur
Le bonheur tu découvriras
Qu’il n’est pas si loin que ça
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